Lettre ouverte

- RÉTABLIR LES FAITS -

Saint-Sauveur, le 23 octobre 2025

 

Chers citoyens de Saint-Sauveur,

Un article publié concernant le party de Noël ayant eu lieu il y a trois ans (2022), organisé par la Ville de Saint-Sauveur, a ramené dans l’espace public une situation qui, pour nous, avait été réglée depuis longtemps.
Nous souhaitons aujourd’hui rétablir certains faits, dans un esprit de vérité, de respect et d’apaisement.

  1. Une discussion et des excuses dès le soir même

Dès le lendemain de cette soirée, Luc Martel et Geneviève Dubuc ont eu une autre discussion franche et respectueuse au sujet de l’événement survenu.
À ce moment, M. Martel a présenté ses excuses, que Mme Dubuc a acceptées, considérant la situation comme réglée.
Depuis, chacun a poursuivi ses fonctions avec respect et professionnalisme, sans qu’aucune tension n’ait subsisté entre eux, suite à cet événement.

  1. Des précisions nécessaires

Mme Geneviève Dubuc tient à préciser clairement qu’elle n’a jamais été “touchée aux seins” par M. Martel. Les faits la concernant ont été déformés au fil du temps.
Il est essentiel, selon elle, de faire la distinction entre la réalité et les rumeurs, et de ne pas laisser les ragots la concernant, amplifier inutilement cet événement qui avait été discuté, compris et réglé depuis plus de trois ans entre nous.

  1. Les enquêtes et les faits

Les événements de cette soirée ont fait l’objet d’une plainte à la Commission municipale du Québec (CMQ).
Aucun blâme n’a été retenu contre M. Martel à l’issue de cette démarche.
Il a également été porté à la connaissance de M. Martel, tout récemment, par la direction générale, que la Ville avait mandaté une firme externe pour enquêter sur ces mêmes faits.
Or, M. Martel n’a jamais été informé de cette démarche et n’a jamais été invité à donner sa version des faits — une omission surprenante pour un processus qui se voulait impartial.
Là encore, aucun blâme ni conclusion défavorable n’a été émis à son endroit.

  1. Leçons et respect mutuel

Nous reconnaissons tous deux que la fonction d’élu exige une attitude exemplaire, même dans un contexte festif.
M. Martel a déjà exprimé publiquement qu’il aurait dû, ce soir-là, faire preuve de plus de retenue et de sens du devoir.
Depuis, il a appris de cette expérience et agit avec la conscience et la responsabilité que commande la vie publique.
Pour sa part, Mme Dubuc considère qu’il est inutile de rouvrir ce dossier les concernant.

  1. Pour un climat politique plus sain

Nous croyons tous deux que les citoyens de Saint-Sauveur méritent des élus qui se respectent, se parlent et travaillent ensemble.
Mme Geneviève Dubuc tient à préciser que les divisions et le climat malsain qu’elle a pu observer au sein du conseil municipal durant son mandat ne découlent pas de l’événement évoqué ici. Ces tensions trouvent plutôt leur origine dans des divergences d’opinion entre élus et de tensions provenant de l’administration municipale, sans lien avec la situation de 2022.
Elle souhaite également préciser que sa décision de se retirer de la vie politique repose sur d’autres considérations personnelles et professionnelles, et non sur cet épisode.
Nous espérons que cette mise au point contribuera à ramener le débat public sur le terrain du respect, de la vérité et du travail collectif, au bénéfice des citoyens de Saint-Sauveur.

  1. Un message d’apaisement

Nous souhaitons tourner la page, dans la dignité, et invitons les médias comme les citoyens à ne pas nourrir davantage les malentendus et les rumeurs.
Les excuses ont été faites et acceptées, et il est temps de regarder vers l’avenir avec respect et transparence.

Geneviève Dubuc

Ex-conseillère municipale de Saint-Sauveur

Luc Martel
Candidat à la mairie de Saint-Sauveur

L’entrevue de Luc Martel à la radio CIME 

À écouter absolument !

 

L’entrevue de Luc Martel à la radio CIME offre plusieurs excellentes raisons de faire confiance à notre Parti.

Notre aspirant maire y présente avec clarté l'expérience et les compétences de nos candidats qui sont déterminés à faire avancer Saint-Sauveur.

Vous y découvrirez aussi quelques orientations qui guideront nos actions futures.

Un grand merci à Josianne Binette pour son professionnalisme et son écoute lors de cette belle entrevue. 

 Pour en savoir plus sur notre vision et nos projets : partisauverois.com

 

ACTUALITÉS DU JOURNAL L'ACCÈS

14 octobre 2025 à 1h10

L’équipe du Parti sauverois.

Élections à Saint-Sauveur : le Parti sauverois à l’assaut des élections municipales

Par Luc Robert 

Le candidat à la mairie Luc Martel et son équipe du Parti sauverois ont lancé leur campagne en vue des élections municipales du 2 novembre prochain à Saint-Sauveur, le vendredi 3 octobre dernier.

Rassemblés au local de campagne, situé au 206, rue Principale, les partisans ont écouté M. Martel élaborer les grandes lignes de son programme, « basé sous le signe de l’écoute, de la communication et de l’action ».

Ainsi, les priorités figurant à sa plate-forme compte : la mise sur pied d’un forum citoyen, la taxation inférieure à l’inflation, une révision du plan d’urbanisme, la protection de l’environnement, l’application de la loi sur la sécurité routière, l’amélioration des infrastructures, ainsi que l’élargissement de l’offre de services en sport, culture et plein air.

« On a rencontré près de 4 500 citoyens jusqu’ici. On doit penser à eux et continuer d’obtenir leurs suggestions. On nous a répété que ça roule vite, lors de notre porte à porte, et qu’on doit rendre ça plus sécuritaire en ville. De même, on veut reformer le comité des sentiers, qui a été dissout quand on a perdu la majorité au conseil. On avait même trouvé un chargé de projet. Ça n’a pas bougé depuis, mais les gens nous en parlent. Quand on gagnera l’élection, on va recréer le comité. Il faut aussi relancer Plein-Air Saint-Sauveur », a ajouté M. Martel.

Celui qui est entré en politique en 2021 a déclaré avoir basé ses priorités sur ces consultations de terrain et des rencontres citoyennes.

« 2541 visites ont été effectuées, de porte à porte, depuis le mois de juin dernier. On veut construire avec vous une ville qui nous ressemble. Il y a 4 ans, j’arrivais de chez Airbus, du privé. J’ai appris à marcher, avant de courir dans le secteur municipal. Avec notre diversité de candidats (ates) et l’expérience de Luc Leblanc, nous sommes prêts à répondre au défi de la mairie », a-t-il indiqué.

Le lancement de campagne s’est inscrit dans la continuité d’une campagne de terrain, « dans une volonté de proximité avec les citoyens (nes). Dans les semaines à venir, des rencontres, réunions publiques, activités de porte-à-porte et actions participatives seront organisées dans tous les secteurs de Saint-Sauveur », a-t-il détaillé.

Entouré d’une équipe diversifiée de 5 dames sur 6 possibles conseillers, M. Martel a spécifié « vouloir introduire une nouvelle façon de faire de la politique municipale, proche des gens, axée sur les résultats et tournée vers l’avenir. On aurait aimé une parité de candidats, mais après les entrevues au bureau, plusieurs dames ressortaient plus du lot. »

Luc Martel se dit prêt à en découdre, le 2 novembre, face à Robert Gravel.

« On a chacun nos visions de Saint-Sauveur. J’entends dire que supposément je bloque des projets ? Je lui demande alors : lesquels ? Au contraire, s’ils respectent les règles, nous sommes ouverts. »

Le Parti sauverois invite les citoyens s’informer, participer ou le joindre, via le site www.partisauverois.com ou sur leur page Facebook.

10 juin 2025 à 1h26

De gauche à droite, Nathalie Desjardins, Sophie Coulombe, Luc Martel, Luc Leblanc, Carole Viau, Stéphanie Carrière et Carole Gagnon. Photo : Simon Cordeau

Le Parti sauverois présente ses candidats

Par Simon Cordeau (initiative de journalisme local) 

C’est Luc Martel, conseiller municipal élu en 2021, qui briguera le poste de maire de Saint-Sauveur pour le Parti sauverois, lors des élections municipales de novembre prochain. « La ville a besoin de renouveau, de sang neuf, de cohérence, de rigueur, et surtout d’une équipe qui va agir concrètement pour le mieux-vivre citoyen », déclare-t-il.

M. Martel est appuyé par Luc Leblanc, qui demeurera le chef du parti. « Luc Martel amène l’élan, j’apporte la mémoire. À deux, nous formons une alliance afin de conjuguer action et expérience, pour bâtir ensemble une bille à l’image de ses citoyens », indique M. Leblanc.

Bien que M. Martel cite la protection de l’environnement et le développement de logements abordables parmi ses priorités, il rappelle que le Parti sauverois ne propose pas aux citoyens une plateforme électorale avec des promesses précises. « Nous, on fait l’inverse. Dans notre porte-à-porte, la réponse est vraiment positive. Les gens sont enthousiastes de l’idée qu’on rencontre les citoyens, qu’on les écoute, et qu’on prenne en note leurs préoccupations et leurs suggestions. Et avec leurs priorités, on va monter un programme électoral adapté aux besoins des citoyens », explique-t-il.

Le Parti sauverois a aussi présenté les six candidats aux postes de conseillers municipaux qui formeront son équipe.

Luc Martel

Gestionnaire dans le secteur de l’aéronautique, M. Martel a été élu conseiller municipal en 2021. « Ça ne faisait pas partie de mon plan de carrière. Mais j’ai rencontré Luc [Leblanc], et j’ai aimé sa vision et son approche, près de la communauté. Ç’a cliqué dès le début, et j’ai pris goût à la politique et à la proximité avec les gens. »

Luc Leblanc

Ancien directeur du Service de la vie communautaire de Saint-Sauveur et fondateur du Parti sauverois, M. Leblanc a été conseiller municipal de 2013 à 2017, puis réélu en 2024. Impliqué dans divers organismes, dans son rôle de conseiller il siège à la commission de la l’urbanisme et à son comité consultatif, à celles de l’environnement, de la sécurité publique et des incendies.

Sophie Coulombe

Avec plus de 20 ans d’expérience en droit des affaires pour un cabinet d’avocats et une multinationale, Sophie Coulombe travaille présentement en courtage immobilier. « Je veux être au service de la communauté. Je pense que le but premier d’une municipalité, c’est le service aux citoyens. Et je crois qu’il y a une place pour moi. »

Stéphanie Carrière

Avocate de formation et directrice générale de la Municipalité de Lac-Tremblant-Nord, Stéphanie Carrière apporte ses connaissances juridiques et du milieu municipal. « J’ai grandi ici, depuis 1982. Alors je veux représenter la communauté et garder Saint-Sauveur le bijou qu’il est. »

Carole Viau

Résidente de Saint-Sauveur depuis 1988 et courtière immobilière, Carole Viau a été élue conseillère municipale en 2021. « Ce qui m’a poussée à me présenter au conseil, c’est d’essayer de garder l’aspect pittoresque de notre village qui est, selon moi, le plus beau des Laurentides. Je voyais beaucoup de choses qui changeaient rapidement, donc je voulais m’impliquer. On ne veut pas que ce soit une grosse ville comme Blainville. »

Nathalie Desjardins

Présidente du Regroupement des voies privées de Saint-Sauveur, Nathalie Desjardins s’était portée candidate indépendante lors de l’élection partielle de mai 2024. « Il y a des gens qui veulent des choses, mais ils n’ont pas nécessairement l’énergie ou le temps de s’impliquer et de faire valoir leur point. Moi, j’ai de l’énergie à revendre. J’aime ça, aider les gens, et j’ai l’impression qu’il y a une place pour moi là-dedans. »

Carole Gagnon

Résidente de Saint-Sauveur depuis 21 ans, Carole Gagnon possède une longue expérience en secrétariat corporatif et en gouvernance au sein d’entreprises publiques et dans le milieu municipal. « Je connais un peu le milieu et je sais dans quoi je m’embarque. « Depuis les dernières années, on reçoit beaucoup de gens à Saint-Sauveur. Je crois qu’il y a des choses à revoir et à ajuster. J’ai du temps, alors je vais m’impliquer. »

22 avril 2025 à 10h44

Nathalie Desjardins et Luc Leblanc du Parti sauverois. Photo : Simon Cordeau

Élections municipales : Nathalie Desjardins se joint au Parti sauverois

Par Simon Cordeau (initiative de journalisme local) 

Lors de l’élection partielle à Saint-Sauveur, le 5 mai 2024, pour un poste de conseiller municipal, Nathalie Desjardins avait obtenu un peu moins de 20 % des votes, alors que son adversaire Luc Leblanc, du Parti sauverois, l’avait remporté avec 45 % des voix. Mais les deux sont désormais alliés. Puisque aux prochaines élections municipales, cet automne, Mme Desjardins se présentera sous la bannière du Parti sauverois.

L’année dernière, encouragée par des concitoyens, celle qui est présidente du Regroupement des voies privées de Saint-Sauveur se préparait plutôt pour les élections de 2025. Mais lorsque la conseillère Geneviève Dubuc a démissionné, Mme Desjardins a vu l’élection partielle comme une bonne pratique. « Le Parti sauverois m’avait approchée. Mais comme tout ça n’était pas prévu, j’avais préféré rester indépendante. » Puis durant la campagne, elle s’est cassé une cheville. « J’ai décidé de continuer quand même. Mais j’ai fait ma campagne au téléphone et sur Facebook, pendant que M. Leblanc faisait son porte-à-porte. »

Plusieurs offres

Depuis l’élection partielle, Mme Desjardins a été approchée par des citoyens et des associations pour qu’elle se représente, voir qu’elle forme son propre parti, dit-elle. Elle a aussi eu des offres et des rencontres avec quelques élus.

« En 2021, le programme du Parti sauverois avait un point sur les chemins privés », indique Mme Desjardins. « En 2011 aussi ! », ajoute M. Leblanc. « Donc j’avais cette ouverture-là pour ce parti. Et Luc Leblanc est un gars sympathique », poursuit Mme Desjardins. Elle a aussi trouvé au Parti sauverois des valeurs communes et de l’écoute. « Lorsque j’ai fait des entrevues avec d’autres partis, ils faisaient juste parler d’eux, et ils ne me posaient pas de question », déplore-t-elle.

Même si les élections sont encore loin, Mme Desjardins tenait à annoncer sa candidature tout de suite. « J’arrive avec des personnes qui me suivent. Je serais mal à l’aise de ne pas leur dire. Certains voulaient partir une équipe avec moi », explique-t-elle.

Luc Leblanc, candidat à la mairie ?

En 2021, Jacques Gariépy avait été réélu maire de Saint-Sauveur de justesse avec 1 720 votes, alors que Luc Leblanc en avait obtenu 1 651, soit 69 voix de moins. M. Leblanc tentera-t-il de nouveau sa chance pour décrocher la mairie ? « Il n’y a rien de confirmer. Ce le sera après l’été. On se donne du temps », répond-il, laissant sous-entendre qu’un autre membre de son parti pourrait briguer la mairie.

Cela dit, il se présentera « au moins comme conseiller ». Quant aux conseillers Luc Martel et Carole Viau, ils n’ont pas encore confirmé leurs intentions. « On est encore en discussion pour notre équipe. On veut rencontrer plusieurs personnes. Le bassin [de candidats potentiels] est assez grand, mais on veut vérifier qu’ils ont la même vision et les mêmes préoccupations que nous », souligne M. Leblanc.

Rappelons qu’en 2021, le Parti sauverois avait fait élire quatre conseillers sur six. Le maire Gariépy et son équipe étaient donc minoritaires au conseil. Mais depuis, les conseillères Marie-José Cossette et Geneviève Dubuc se sont déclarées indépendantes, avant que Mme Dubuc ne démissionne et soit remplacée par M. Leblanc.

« Le choix des candidats est important. On veut les connaître. […] Quand on part, c’est quatre ans à vivre ensemble », retient M. Leblanc. « Ça se peut qu’on ne pense pas tous pareil », précise Mme Desjardins. « Mais il faut se respecter », ajoute M. Leblanc.

À l’écoute pour leur programme

M. Leblanc admet que son parti n’a pas encore de propositions ni de programme précis en vue des prochaines élections. Plutôt que de proposer aux électeurs une vision déjà établie, il souhaite que son parti soit à l’écoute des citoyens, et que ceux-ci leur partagent leurs préoccupations. « Le Parti sauverois est là pour répondre aux besoins de la population. On va se réaliser par l’implication des citoyens. »

M. Leblanc indique toutefois que certaines thématiques seront évidemment abordées, telles que la communication entre la Ville et ses citoyens, l’environnement et l’aménagement du territoire, la sécurité, ainsi que les finances et le coût de la vie. Quant à Mme Desjardins, elle souhaite que Saint-Sauveur retrouve un équilibre « entre la population qui habite ici et les touristes ». « Il faut que la population puisse participer aux activités de la ville. »